Bourse Mondial du Tourisme
L’ITB de Berlin ( Bourse Mondial du Tourisme) la plus grande foire touristique internationale ne cesse de grandir et de prendre une proportion importante réunissant le opérateurs touristiques mondiaux représentant toute l’industrie touristique mais également les autres activités para touristiques, dont l’édition par exemple. 11 000 exposants représentent 187 pays, un beau record qui va en grandissant à tel point que pour la 44 ème édition de 2010 tous les espaces dédiés aux stands ont été vendus, les organisateurs se voient obligés de construite en hauteur pour satisfaire la forte demande. L’ITB a généré en 2009 un chiffre d’affaire de 6 milliards d’euros. Le Maroc est présent également à l’ITB avec une forte délégation. Le nouveau ministre du tourisme, Yassir Znagui a fait là sa première sortie officielle et sa première participation qui par ailleurs laissent une première bonne impression pour un premier contact, à la fois chez les responsables du tourisme allemands, dont le président de la TUI et le président de la DRV. Des professionnels nationaux affichent un optimisme à son rencontre, quoiqu’il soit novice dans le secteur. Il est certain qu’il faudra lui laisser le temps nécessaire pour s’acclimater avec le secteur, mais déjà sa disponibilité et son écoute laissent présager du bon travail dans l’avenir. En tout cas son expérience dans le privé doit apporter un souffle nouveau pour faire sortir le secteur de sa léthargie administrative vécue ces dernières années et réactiver les principes de rentabilité, efficacité et obligation du résultat dans le cadre d’une stratégie gagnant / gagnant avec les opérateurs et les To des différents pays émetteurs.
Musique folklorique
La Musique folklorique sur un plan étymologique -folklore- désigne, en
anglais, le savoir du peuple. Ce terme devrait être synonyme de musique
populaire. Or, de façon très dommageable, le terme folklorique renvoie
aujourd'hui en Occident le plus souvent à une idée d'archaïsme, à une
image de recréation à vocation touristique de pratiques musicales et
festives. Il a pu aussi incarner des identités nationales de manière
idéologiquement fabriquée (ex. des pays de l'Est).
Bab Al Bahr
Depuis le lancement officiel des travaux de réalisation du projet Bab Al Bahr, le consortium émirati d’Abu Dhabi, Al Maabar International Investments, n’a eu cesse de confirmer son engagement constant auprès de l’Agence Bouregreg pour mener à bien ce grand chantier immobilier et hôtelier. Lors d’une rencontre informelle avec des journalistes marocains et émiratis, M. Yousef Al Nowais, Président d’Al Maabar, a rappelé les grandes lignes de la stratégie de son consortium. Al Maabar ambitionne de devenir le meilleur ambassadeur de l’Emirat d’Abu Dhabi dans le monde, notamment à travers de grands projets immobiliers dans les marchés du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. En réponse à une question relative aux répercussions de la crise financière internationale sur la société qu’il représente, M. Al Nowais a été formel ; Al Maabar n’a pas souffert des suites de cette crise malgré le fait qu’elle ait touché plus particulièrement le domaine de l’immobilier. De son côté, M. Lemghari Essakl, Directeur Général de l’Agence Bouregreg et Président du Conseil d’Administration de Bab Al Bahr Development Company, a loué la coopération du Maroc avec l’émirat d’Abu Dhabi autour de ce projet phare, rappelant l’engagement sans faille du groupe Al Maabar dans le cadre de cette joint-venture. M. Essakl a également rendu hommage au professionnalisme des équipes marocaines et celles d’Abu Dhabi, en particulier le degré d’entente et de coopération intelligente entre les experts de part et d’autre.
Vision 2010
Pour atteindre le chiffre de dix millions de touristes en 2010, il est prévu d’accroître la capacité des hôtels pour atteindre 230 000 lits, de drainer des investissements hôteliers à hauteur de 8 à 9 milliards d’euro, de créer quelques 600 000 emploi. D’autre part, il est prévu de porter la contribution du tourisme au PIB à 20% à l’horizon 2010, avec une progression au rythme de 8,5% par an. Pour concrétiser ces chiffres, des chantiers ont été lancés. Au niveau du produit touristique, le département du Tourisme a lancé le plan d’Azur visant la création de six nouvelles stations touristiques à Saidia, (Berkane), Lixus (Larache), Mazagan (El Jadida), Maogador (Essaouira, Taghazout (Agadir) et Plage blanche (Guelmim). Par ailleurs, des Plans de Développement Régionaux (PDR) ont été élaborés pour améliorer des destinations touristiques déjà existantes telles Agadir, Tanger, Tétouan, etc. Autres chantiers lancés : la promotion du tourisme rural et de niche, le développement du transport aérien, la formation d’au moins 700 000 professionnels.
Nouveau site marocain
Un nouveau site marocain vient de voir le jour. http://www.mapsdumaroc.com, regroupe les cartes et plans de toutes les villes marocaines.
Le
site contient plus de 29.000 régions, douars, villes, houma… présenté
par ordre alphabétique et affichant leurs coordonnées géographiques en
latitude et longitude. Ces derniers, pourrons servir de point GPS pour
les gents qui souhaitent voyager au fin fond du Maroc.Mapsdumaroc.com
utilise Google Maps ce qui permet d’avoir des plans satellite et des
cartes géographiques.
Pour Driss Benhima, président de Royal Air Maroc
s'exprimant au World Air Transport Forum réuni à Paris, l'accord de ciel
ouvert signé en 2006 avec l'Europe n'a pas été le début de la fin pour
la compagnie nationale. Celle-ci s'est restructurée, laissant les
passagers de tourisme à sa filiale low-cost Atlas Blue et se recentrant
sur son hub de Casablanca. Depuis cette plaque tournante, RAM relie les
métropoles européennes ainsi que New York et Montréal à une grande
partie de l'Afrique, offrant des tarifs inférieurs aux compagnies majors
comme Air France ou Lufthansa. Le transporteur marocain est ainsi
devenu la deuxième compagnie africaine.
L'ouverture
du ciel avec l'Europe a permis à un grand nombre de compagnies de
desservir le Maroc, ce qui a entraîné un véritable boom du tourisme et
la création de 200 000 emplois.
«On
se heurte souvent au ciel ouvert mais aux aéroports fermés», relève
Driss Benhima car la disparition des droits de trafic n'est pas synonyme
de créneaux automatiques dans les aéroports, à Orly par exemple. Le
patron de la RAM évoque aussi les rapports de force difficiles entre les
compagnies.
Une
délégation représentant la radio et télévision portugaises à effectué
ces deux derniers jours une visite aux villes d'El Jadida et de Safi,
particulièrement aux sites archéologiques datant de l'époque de la
présence portugaise dans les deux cités.
Initiée
par l'Office national marocain du tourisme, cette visite, durant
laquelle les journalistes ont tourné un reportage sur ces sites
archéologiques, s'inscrit dans le cadre de la promotion de l'offre
touristique des deux villes.Dans une déclaration à la MAP, le délégué
provincial du Tourisme à El Jadida, Nourdine Sridi a affirmé que cette
initiative, qui sera suivie par une autre prévue le 23 mai courant, a
permis la mise en valeur des trésors archéologiques dont regorgent ces
deux anciennes cités.
La
délégation portugaise s'est rendue, à cette occasion, dans plusieurs
sites dans la ville d'El Jadida, dont le quartier portugais Mazagan,
inscrit au patrimoine culturel universel, ainsi que dans d'autres sites
dans la ville de Safi, particulièrement Ksar Labhar et l'ancienne
médina, qui fait l'objet d'un important projet visant sa réhabilitation,
a-t-il ajouté.La visite a été également une occasion pour informer les
journalistes portugais sur la dynamique touristique que connaît la
région de Doukkala-Abda, à travers de grands projets tels que la station
touristique Mazagan et la station Sidi Abed, qui s'inscrivent dans le
cadre des Plans «Maroc bleu» et «Biladi».
Ahaidous
Ahaidous
L’ahidous est une danse traditionnelle pratiquée par les tribus berbères du Moyen Atlas au Maroc, dans laquelle hommes et femmes, coude à coude, forment des rondes souples et ondulantes, accompagnées de chants (en berbère izli, izlan) rythmés par le bendir.
L'ahidous est connu pour être le divertissement préféré des Amazighs
du Maroc central et leur moyen d'expression le plus complet et le plus
vivant. On le danse à l'occasion des moindres fêtes et même, l'été,
après la moisson, presque tous les soirs dans les villages.
Les danseurs se mettent en cercle, en demi-cercle, ou sur deux rangs
se faisant face, hommes seuls, femmes seules, ou, hommes et femmes
alternés, étroitement serrés, épaule contre épaule, ils forment bloc. La
danse est rythmée au tambourin et par des battements de mains. Les
mouvements sont collectifs ; c'est un piétinement, un tremblement qui se
propage, entrecoupé d'ondulations larges, coups de vent sur les blés.
Par leur aisance et leur ensemble, ils témoignent d'un sens du rythme
remarquable. Toutefois, tous faisant presque toujours le même geste en
même temps, c'est surtout un ensemble de juxtaposition que l'ahidous
présente. En ce sens, il est très caractéristique de la mentalité des
Amazighs. L'ahwach dansé par les Chleuhs de l'Atlas occidental est déjà
fort différent.
Cascade Ouzoud
Ouarzazate est devenue le centre cinématographique du Maroc De nombreuses productions à la renommée internationale ont été tournées dans cette région : ‘Lawrence d’Arabie’, ‘Gladiateur’, ‘Un thé au Sahara’, ‘L’Homme qui voulut être roi’, ‘La dernière tentation du Christ’, ‘Astérix’, ‘Kundun, et plus récemment ‘Alexandre le Grand’, ... La plupart des films sont réalisés dans les "Atlas Studios"
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